Stéphane Baly
Co-président du groupe Lille Verte
48 ans, enseignant-chercheur
Membre des commissions municipales : Transition écologique, de l’urbanisme, de la nature et des mobilités, de l’habitat et espaces publics.
Pour quelles raisons as-tu décidé de t’engager en politique ?
Mon déclic personnel : la perception d’un monde fini (et de l’absence d’une planète B) en visionnant « Il était une fois l’homme » quand j’étais enfant ! Et mon déclic politique a été mon adhésion aux Verts en 1998, en opposition à l’élection à l’élection de Charles Baur à la présidence de la région Picardie, avec les voix du FN. Fermement attaché à un projet politique porteur d’émancipation, j’ai la conviction que la seule façon de défendre ses idées et ses principes et de les faire connaître… est de se retrousser les manches !
Être élu, ça change quoi ?
Engagé dans des combats associatifs sur la qualité de l’eau, la mobilité et la transition énergétique depuis deux décennies, un mandat électif permet d’accéder à d’autres leviers. Le mandat local est celui de la proximité, du terrain. Penser local pour agir local.
Ton chantier prioritaire à Lille ?
Prendre soin de la nature, de nous et des autres est un impératif pour surmonter la crise sanitaire du moment, les crises sociales et économiques qui en découlent, mais également la crise écologique qui, en toile de fond, menace l’ensemble de nos sociétés. Les villes ont le pouvoir d’agir pour protéger leurs habitants : en matière d’aménagements, de santé, de boucliers sociaux, de prévention des pollutions, d’accueil des plus jeunes dans nos crèches et nos écoles, d’accompagnement des aînés, etc